LE DERNIER LOUP
Réalisation Jean-Jacques Annaud
Avec Feng Shaofeng, Shawn Dou, Ankhnyam Ragchaa
Sortie le 25 février 2015 - durée 1h55 min
Aventure
1969. Chen Zhen, un jeune étudiant originaire de Pékin, est envoyé en Mongolie-Intérieure afin d’éduquer une tribu de bergers nomades. Mais c’est véritablement Chen qui a beaucoup à apprendre – sur la vie dans cette contrée infinie, hostile et vertigineuse, sur la notion de communauté, de liberté et de responsabilité, et sur la créature la plus crainte et vénérée des steppes – le loup. Séduit par le lien complexe et quasi mystique entre ces créatures sacrées et les bergers, il capture un louveteau afin de l’apprivoiser. Mais la relation naissante entre l’homme et l’animal – ainsi que le mode de vie traditionnel de la tribu, et l’avenir de la terre elle-même – est menacée lorsqu’un représentant régional de l’autorité centrale décide par tous les moyens d’éliminer les loups de cette région.
- Chazelles Vendredi 10 avril 20h30
- Violay Vendredi 10 avril 20h30
- Haute-Rivoire Samedi 11 avril 20h30
- St Laurent de Chamousset Mardi 14 avril 18h00
- Chevrières Mardi 14 avril 20h30
- Grammond Mercredi 15 avril 17h30
- Montrottier Mercredi 15 avril 14h30
- Montrottier Mercredi 15 avril 20h30
- Brullioles Jeudi 16 avril 20h30
- Brussieu Vendredi 17 avril 20h30
- Duerne Vendredi 17 avril 20h30
- Saint Clément les places Samedi 18 avril 20h30
- Fontanès Samedi 18 avril 20h30
- Virigneux Dimanche 19 avril 20h00
CRITIQUES
La Croix
Entre exaltation et tristesse, le film mêle avec brio récit initiatique, fable spirituelle et fresque historique.
Le Point
Annaud revient enfin à son meilleur : un film tendu, palpitant, parfois à couper le souffle. Un tour de force.
Culturebox - France Télévisions
Jean-Jacques Annaud met son sens de l’épique au service d’une histoire forte et touchante, avec en arrière plan la douloureuse période de la Révolution culturelle en Chine. Si "Le Dernier loup" n’est pas dénué d’un message écologique et d’une ode au rapprochement entre les peuples, il n’est pas angélique et repose sur une dramaturgie forte.
Première
En deux séquences d’anthologie (...), il rappelle au public gavé de blockbusters sans signature que le cinéma d’action n’est pas qu’une affaire de pro de la palette graphique et qu’on peut instiller de l’émotion à de pareils morceaux de bravoure.
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