Le BGG – Le Bon Gros Géant
par
Du 5 au 18 octobre
Un joli conte pour enfants signé Spielberg |
Le BGG – Le Bon Gros GéantAméricain, Britannique, Canadien / Réalisation Steven Spielberg Sortie le 20 juillet 2016 / Durée 1h 57 min Famille, Aventure, Fantastique Le Bon Gros Géant ne ressemble pas du tout aux autres habitants du Pays des Géants. Il mesure plus de 7 mètres de haut et possède de grandes oreilles et un odorat très fin. Il n’est pas très malin mais tout à fait adorable, et assez secret. Les géants comme le Buveur de sang et l’Avaleur de chair fraîche, sont deux fois plus grands que lui et aux moins deux fois plus effrayants, et en plus, ils mangent les humains. Le BGG, lui, préfère les schnockombres et la frambouille. À son arrivée au Pays des Géants, la petite Sophie, une enfant précoce de 10 ans qui habite Londres, a d’abord peur de ce mystérieux géant qui l’a emmenée dans sa grotte, mais elle va vite se rendre compte qu’il est très gentil. Comme elle n’a encore jamais vu de géant, elle a beaucoup de questions à lui poser. Le BGG emmène alors Sophie au Pays des Rêves, où il recueille les rêves et les envoie aux enfants. Il va tout apprendre à Sophie sur la magie et le mystère des rêves...Avant leur rencontre, le BGG et Sophie avaient toujours été livrés à eux-mêmes, chacun dans son monde. C’est pourquoi leur affection l’un pour l’autre ne fait que grandir. Mais la présence de la petite fille au Pays des Géants attire bientôt l’attention des autres géants... Sophie et le BGG quittent bientôt le Pays des Géants pour aller à Londres voir La Reine et l’avertir du danger que représentent les géants. Mais il leur faut d’abord convaincre la souveraine et sa domestique, Mary que les géants existent bel et bien ! Tous ensemble, ils vont mettre au point un plan pour se débarrasser des méchants géants une bonne fois pour toutes...
CRITIQUES Première Le film ressemble au géant qu’il met en scène : un peu gauche, mal peigné, mais irrésistible et ultra attachant. Petit, peut-être, mais quand même costaud. aVoir-aLire.com Drôle et enchanteur, le nouveau conte de Spielberg met à l’amende toute la concurrence. L’œuvre bariolée de Roald Dahl constitue décidément un terreau fertile pour le divertissement. La Voix du Nord Un délicat mélange d’ombre et de lumière, d’humour et d’émotion, d’intimisme et de spectaculaire. Plaisir renforcé par la piquante novlangue (le gobblefunk) de Roald Dahl. On y papotine magierêve, épouvansonge. Les freluquettes riquiquites côtoient les Gobe-Gésiers. Miamissime. Exqui-déli-savouricieux ! Le Figaro À 69 ans, le réalisateur ose une singulière « love story » entre une petite fille et un géant solitaire. Avec des séquences irrésistibles mettant en vedette la reine d’Angleterre et Buckingham Palace. |